Des visuels caractérisés par leur dominante de noir, des contrastes tranchés, une inspiration graphique venue de la BD underground américaine, c'est d'abord sur les murs que je laisse ma marque.

Frustré par l'éphémérité du graffiti et de l'affiche, je me consacre par la suite à l'art du tatouage, sans pour autant mettre de côté la pratique du dessin.

Abordant des thèmes tirés de l'imagerie populaire des années 30 à 70, mes dessins forment un étonnant bestiaire d'être étranges et grotesques dans un monde rétro-décalé.